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La Commission pastorale de la terre (CPT) a publié la 38e édition du rapport "Conflits dans les zones rurales au Brésil en 2023". Celui-ci révèle que l’incidence de la violence a été l’an dernier la plus élevée depuis que cette publication existe.

La lettre présente la lecture que fait le Mouvement des travailleurs ruraux sans terre du moment politique actuel du Brésil et pointe les luttes à mener dans la période à venir.

Dans l’après-midi du dimanche 21 janvier, la chamane du peuple Pataxó est assassiné lors d’une attaque menée par des propriétaires terriens et de policiers militaires sur les terres récupérées à Bahia. Voici le communiqué de l’APIB.

La Commission Pastorale de la Terre (CPT) publie des données partielles des conflits dans les zones rurales brésiliennes pour le 1er semestre 2023.

La CPI contre le Mouvement Sans Terre se termine sans mettre en lumière les vrais problèmes des zones rurales ; elle fut, bien au contraire, une plateforme politique de plus pour la droite bolsonariste.

Dans ce nouveau rapport, la Commission des terres pastorales (CPT) rend publiques les données des conflits survenus dans les campagnes brésiliennes au cours de l’année 2021.

La campagne « Cultiver la solidarité » est un effort collectif du mouvement des sans-terre pour donner un peu d’espoir aux familles vulnérables vivant dans les périphéries du Brésil, grâce au don d’aliments produits dans les campements et les zones de réforme agraire du MST.

Dans un communiqué, le Mouvement des travailleurs ruraux Sans-Terre dénonce le brutal assassinat de Lindolfo Kosmaski, jeune militant gay du MST. Il a été brutalement assassiné par balles le 1er mai 2021 dans le sud du #Brésil.

Dans une décision prononcée le 7 avril dernier, la juge Kelma Vilela de Oliveira (TJRO) a ordonné l’expulsion de 70 familles de travailleurs ruraux dans l’État de Rondonia au Nord du Brésil. Les organisations de la société civile rejettent la décision et manifestent leur solidarité avec les familles touchées.

Depuis la fin de la dictature militaire en 1985, un nouvel équilibre institutionnel semblait avoir repris le pouvoir de tutelle aux Forces armées. Néanmoins, avec l’arrivée de Jair Bolsonaro à la présidence, elles semblent être revenues sur la scène politique sans tambour ni trompette.